A compter de 2006, le montant des chèques-vacances dépendra de la feuille d’imposition du foyer - et ce n’est qu’un début ! De plus, demain, certaines prestations du COS risquent d’être remises en cause, voire supprimées, pour des raisons d’équilibre budgétaire !
FORCE OUVRIERE refuse ce changement : POURQUOI ?
Parce que ce procédé, décidé par d’autres représentants du personnel, se met en place sans respecter ni maintenir les acquis obtenus après des années de patiente évolution dans :
le montant de l’aide accordée à tous les agents ;
la mise en œuvre d’une faible tranche d’épargne avec un taux de bonification plus important ;
la possibilité de commencer avec souplesse une épargne en avril pour la terminer au début de l’année suivante et ainsi en profiter immédiatement.
Une amélioration, et non un bouleversement de ces équilibres, devait être recherchée.
Le budget complémentaire attribué au COS cette année pouvait permettre une augmentation de 25% du montant de la bonification pour chacun.
Pour FO, chaque agent est avant tout un salarié du Conseil Général avec des DROITS à maintenir, à défendre, à améliorer.
Notre souci premier : préserver un équilibre entre les aides à la famille (prestations pour les enfants), les aides directes à l’agent, la prise en compte du niveau de salaire de l’agent (indice plafond).
FSQ Tribune FO juillet 2005